Cherchant une échappatoire, le jeune homme s’était réfugié dans le seul endroit qu’il connaissait, au cimetière ! Assit sur une des pierres tombale, le jeune homme était plongé dans le flot impétueux de ces pensées… Toujours les même pensée, ces ancien compagnons d’arme, sa fiancée morte, et ses parents adoptifs… Le jeune homme ne pouvait s’empêcher d’éprouvé cette haine, mêlé de rage, et d’un soupçon d’impuissance ! Ce mélange détonnant le rendait malade et quand cela lui arrivait, il aimait chasser les faibles proies qui se trouvait sur son chemin, mais que ferait son repas ici, alors que la nuit tombais ? Lancelot savait qu’ici, il ne risquait pas de faire du mal à qui que se soit…Il détestait cette vie de prédateurs, lui tout ce qu’il désirait c’était reposé en paix au coté de sa mie, de ces compagnons, et de ces parent d’adoptions…Mais avant, il devait expier sa faute et faire pénitence… Mais comment, le jeune homme ne le savait… Les jeunes de ces temps moderne ce méfier de tout et de tout le monde, il n’arrivait pas à ce faire accepter…Du moins, il n’arrivait point à les cerner assez pour s’intégrer !!!
Le jeune homme s’arrêta soudain, regardant ou l’avait mené ses pas…Une vieille chapelle se dressé devant lui, un vestige ancien qui relaté l’histoire des chevaliers des légendes arthurienne…Peu de gens le savait, mais le roi Arthur et tous ces gens et chevaliers avaient vécu ici dans cette ville prés de 1ans avant de repartir à Camelot…C’était ici qu’il avait rencontré son amour… Elle était belle comme le jour et fraiche comme la rosée du matin…Et c’était au sous-sol de cette chapelle qu’il avait était pris au piège pendant tant d’année… Il allait pousser la porte de ce lieu saint quand il sentit une présence qui l’observait…

« Sortez de la avant que je ne daigne me retourner…Car si je me déplace, vous allez souffrir ! »

Gabrielle fouilla dans sa boîte à gants pendant plus de dix minutes avant de dénicher un plan de la ville soigneusement plié. Elle l’étala sur le volant de sa voiture noire. Gabbi chercha du doigt le lieu qu’elle cherchait, le cimetière…D’après la carte, il n’était pas loin, la demoiselle se gara et décida de faire le reste du chemin à pied… L’air nocturne la fit frissonner, mais elle continua sa route jusqu’à un portail délabré.

« Ca doit être là »

Son cœur battait la chamade, elle allait enfin découvrir la tombe de son Aïeul Lancelot De Pendragon, mort il avait de cela des siècles déjà. La jeune fille s’avança lentement par respect pour ce lieu. Les premières stèles qu’elle examina avaient l’air en bon état. Gabbi se dirigea vers le fond du cimetière et examina les stèles, elles étaient tordues et leur pierre étaient couverte de mousse. Elle déchiffra beaucoup de nom sur ces tombes mais aucun ne correspondait à celui qu’elle cherchait.

* Eh alors Grand, grand, grand…Papy on se cache…Allez montre toi si t’es un homme ! *

Gabrielle arriva près d’une chapelle avec des ornements muraux représentants les chevaliers de la table ronde.

*Je pense trouver des informations sur toi ici…tu ne m’échapperas pas grand, grand…et puis on s’en fou, je crois que je t’appellerai grand papy ça sera plus court.*

Il faisait maintenant nuit noire, elle était tombée d’un seul coup et la demoiselle dû tâtonner pour trouver le mur de la chapelle. C’est alors qu’elle entendit une voix, elle sursauta et se retourna vivement cherchant des yeux la personne qui avait parlé. Elle sentit une personne à côté d’elle mais quand elle tourna la tête, elle dut scruter l’obscurité pour voir le visage d’un homme. La jeune fille ne pouvait rien distinguer de cet homme à part les contours de son visage, grâce auxquels elle put savoir à quelle distance il se trouvait d’elle. Elle chercha une réponse à la voix.

*Dépêche-toi de trouver une solution ce garçon ne m’as pas l’air très équilibré, à tout le coup vu la chance que j’ai, je suis tombé sur le serial killer de service, la nuit.*

« Bien le Bonsoir cher monsieur, service mortuaire des cimetières à votre service, nous vous garantissons un service de jour comme de nuit pour votre confort et votre tranquillité. »

Le sourire forcé qu’elle affichait tarissait le mensonge qu’elle venait de faire mais la nuit le dissimulait aux yeux du jeune homme…